Mieux comprendre les mécanismes biopsychosociaux à l’origine des troubles comportementaux, y compris psychiatriques.
Mieux les prendre en charge tant en termes d’efficacité que de confort et d’autonomisation.
Réduire les coûts humains et socio-économiques des maladies par l’amélioration continue de leurs prévention et prise en charge neuro-comportementales.